Bonjour Romain,
Au moment où j’écris, je suis toujours avec vous tous.
Hier soir, en rentrant, j’ai sorti le chien et tout en marchant je me marrais en repensant au « prétentieux » de ce que j’ai pu dire et entendre ; tout est faux et pourtant si vrai…
et c’est ce qui rend le tout fou et respectable !
Avant de redescendre sur la planète terre et de recomposer avec son calendrier grégorien…, j’ai oublié de te dire que tu es « Romain le magnifique », celui qui malgré son sac pesant et les risques, grimpe puissamment l’abrupt de la montagne sauvage tout en l’élevant, tant tu y crois et que ta légèreté décidée est attractive. Merci pour cette transmission.
Et à Julie : merci…
Je vous embrasse